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Transports scolaires : nos propositions
Sophie BRINGUY dit OUI à l’amélioration du temps de trajet et à la tarification sociale
3 novembre 2015, par Patrick Cotrel - #Campagne régionales 2015 - #Conseil régional - #Déplacements - #Développement DurableLe PS s’est emparé de l’attribution de la responsabilité des transports scolaires aux Régions, pour proposer la gratuité des transports scolaires. Or pour les écologistes, cette proposition est une fausse bonne idée qui n’améliore pas les conditions de vie des élèves et masque la diversité des situations des familles.
Améliorons le temps de trajet : moins de 35 minutes de transport par trajet !
Le temps de transport : voilà la principale préoccupation des parents d’élèves se rendant au collège ou au lycée, en particulier en zone rurale. Pour certains jeunes, le trajet peut durer jusqu’à 1h30, les obligeant à se lever trop tôt et rajoutant à la journée d’étude près de trois heures de transport par jour (sans compter les devoirs le soir !). Et c’est au niveau du collège que le problème est le plus important : les écoles maternelles et primaires sont plus nombreuses et mieux réparties sur le territoire, tandis que les lycéens peuvent bénéficier des internats.Sophie Bringuy : "Pour véritablement améliorer le quotidien des élèves, leur rythme de vie et leurs conditions d’étude il faut réduire le temps de transport.
Nous nous y engageons avec pour objectif de ramener le temps de transport à moins de 35 minutes par trajet pour tou-te-s les élèves de la Région !
Cette mesure nécessitera davantage de trajets avec des véhicules plus petits, mais son coût restera inférieur à une gratuité totale."Instaurons une tarification sociale : une modulation les tarifs en fonction du quotient familial, pouvant aller jusqu’à la gratuité.
L’amélioration de la qualité des transports scolaire doit s’accompagner d’une meilleure accessibilité pour chaque famille, quelle que soit sa situation financière.
Sophie BRINGUY précise : "Nous instaurerons une tarification progressive en fonction des revenus de la famille (pouvant aller jusqu’à la gratuité). Ce sera d’ailleurs une première pour la Région des Pays de la Loire dans le domaine des transports : actuellement, il existe des tarifs réduits pour certaines tranches d’âge (les jeunes) ou certains statuts (les salariés, les chômeurs). Mais le prix des TER est très élevé pour les familles modestes". Et cela contrairement à d’autres collectivités qui commencent à pratiquer des tarifs sociaux, comme Nantes Métropole.Pour suivre la campagne de Sophie Bringuy, cliquer ici.
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NDDL : le double discours du gouvernement
1er novembre 2015, par Patrick Cotrel - #Campagne régionales 2015 - #Conseil régional - #Déplacements - #Développement DurableAprès l’annonce de la Préfecture de Loire-Atlantique de sa volonté de démarrer les travaux début 2016 et le lancement d’un appel d’offres, les protestations se multiplient.
Mobilisation express :
Une mobilisation express nationale de EELV vient d’être décidée pour le mercredi 4 novembre après midi sur le site de Notre Dame des Landes.
Y seront présents :Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale de EELV et Julien Bayou porte parole national
Les députés Cécile Duflot (présidente du groupe des députés écolo) et Noël Mamère,
René Louail, tête de liste EELV en Bretagne pour les régionales,
Sophie Bringuy, tête de liste en Pays de la Loire, avec Jean Philippe Magnen, Christophe Dougé, Geneviève lebouteux, Dominique Lebreton,
Les élu.e.s locaux comme Pascale Chiron (Adjointe à Nantes),
Nous réaffirmerons le soutien indéfectible des écologistes aux collectifs d’opposants.Dernières nouvelles :
Ce lundi 2 novembre les élu.e.s écologistes et citoyens au Conseil municipal de Nantes ont quitté la séance publique du Conseil pour protester contre l’annonce de la reprise des travaux (ils n’ont jamais débuté…) pour l’aéroport de NDDL.
Pascale Chiron a expliqué leurs choix de ne pas participer au vœu sur le climat et au débat d’orientation budgétaire. Elle a déclaré notamment :
"Vendredi le Premier Ministre a pris la responsabilité d’une nouvelle provocation sur le dossier de Notre-Dame-des-Landes. Alors que les principaux recours ne sont pas terminés, notamment après un avis défavorable au projet émanant du conseil d’Etat, le Premier Ministre veut passer en force.
Or, ce respect des recours juridiques est au cœur de notre accord, Madame le Maire.
Nous regrettons votre prise de position dans la presse hier, même si c’est dans le cadre d’un texte collectif. (…)Prendre le risque de relancer aux forceps ce projet inutile maintenant, c’est incohérent avec l’objectif affiché par la France pour la COP21.(…) En prenant le risque de bafouer l’accord du président de la République qui est de respecter les procédures juridiques jusqu’à leur épuisement, le Premier Ministre bafoue la démocratie et toutes les lois environnementales, nationales, européennes.
Vous soutenez cela aussi !"
Pour lire l’intervention de Pascale Chiron, cliquer iciCe même lundi, les Vice-Présidents de la Région Pays de la Loire ont refusé de siéger à l’exécutif régional. En effet, Samedi, les responsables de collectivités et parlementaires socialistes de la Région, ont co-signé un communiqué pour appuyer le lancement des appels d’offres pour la desserte du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes par le préfet. Les élu-es régionaux écologistes dénoncent les mensonges de ce texte, que Jacques Auxiette et Christophe Clergeau ont signé.
Voici leurs déclarations :
Jean-Philippe MAGNEN, Président du Groupe des élu-es écologistes et Vice-Président de la Région : "Ras-le-bol des mensonges d’État et des responsables des collectivités sur ce dossier. Il est faux d’affirmer « Plus aucune procédure ni en France ni au niveau européen ne conteste le bien-fondé de la décision de transférer l’aéroport ». En effet, les procédures sur le droit de l’environnement sont en appel et la France reste mise en demeure par la Commission européenne pour non-respect des directives communautaires. Ces élu-es qui prônent le respect de l’État de droit ne cessent donc de le remettre en cause."
Sophie BRINGUY, Vice-Présidente de la Région des Pays de la Loire en charge de l’environnement : "Stop à l’incohérence à tous les niveaux. Nouveaux permis pétroliers et autorisations pour relancer les gaz de schiste, soumission au lobby diesel, et à présent passage en force sur Notre-Dame-des-Landes. Où sont donc les engagements concrets de François Hollande, Manuel Valls et leurs amis pour la COP 21 ? Le climat ne va pas se contenter de beaux discours. Alors, vous, responsables socialistes, mettez enfin vos discours et vos actes en cohérence."
Pour sa part, Sophie Bringuy, tête de liste des écologistes pour les prochaines élections régionales de novembre prochain, a déclaré dès samedi :
" Comment peut-on, un mois avant de dérouler le tapis vert aux chefs d’Etats du monde entier pour le rendez-vous historique de la COP21, envisager de dérouler un tapis de béton au milieu de la plus grande zone humide d’Europe de l’ouest, véritable château d’eau naturel de la Loire Atlantique ? La lutte contre le dérèglement climatique impose des actes en cohérence avec les discours : si la France souhaite « s’engager pour le climat » comme l’a proclamé le Président de la République en août dernier, le projet de Notre-Dame-des-Landes doit être abandonné. Il n’a pas sa place dans un projet progressiste et écologiste pour notre Région."Pour lire l’intégralité du communiqué, cliquer ici.
Pour leur part, Emmanuelle Cosse (Secrétaire nationale de EELV) et Yannick Jadot (député européen du grand Ouest) ont également protesté suite à cette annonce, comme de nombreux autres élu.e.s EELV.
Pour suivre la campagne de Sophie Bringuy, cliquer ici.
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A propos des sondages
29 octobre 2015, par Patrick Cotrel - #Campagne régionales 2015 - #Conseil régionalLe sondage BVA publié par Ouest-France pose de nombreuses questions (pour le lire, cliquer ici).
Les résultats du premier tour :
Avec un sondage sur seulement 800 personnes, on comprend que les résultats affichés sur les "petites listes" soient un peu hasardeux. Par exemple :La liste "Front de Gauche" n’est en fait qu’une liste Parti Communiste ; et cela va bien finir par se savoir...
Le MEI (Mouvement Ecologiste"Indépendant") explique dans la presse ce jeudi 29 octobre qu’il va avoir beaucoup de mal pour réunir la somme nécessaire à présenter une liste.
La liste "Réunifier la Bretagne" peut, peut-être, obtenir 4% en Loire-Atlantique. Mais ce serait surprenant qu’il obtienne ce score dans les 4 autres départements...
Les résultats du second tour :
Ce résultat ne semble pas tenir compte des alliances peut-être possibles au second tour. Et dans cette optique, on a du mal à voir les réserves de M. Retailleau (pourtant crédité de +9%). A moins que M. Clergeau ne sache pas tirer les leçons d’un relatif échec de premier tour (le score annoncé est inférieur au score du PS aux élections départementales) et ne sache pas prendre effectivement en compte les propositions de ses alliés pour amorcer une véritable dynamique de second tour...Pour lire le commentaire de Sophie Bringuy sur ces sondages, lisez la "Feuille de campagne N° 12" en cliquant ici.
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Evolution du chômage en septembre 2015
28 octobre 2015, par Patrick Cotrel - #Conseil régional - #EmploiA en croire certains médias, on pourrait être à la veille de la fameuse « inversion de la courbe du chômage ». Qu’en est-il ?
Il est vrai que le nombre de chômeurs de cat A a diminué de 23 800 en un mois. Et si on regarde l’évolution sur un an reste de +3,64% (après correction liée au changement de comptage en mai dernier), même si c’est le pourcentage le plus faible depuis avril 2014 (voir courbe).
Si on regarde l’évolution pour les catégories A, B et C, on a une augmentation de+1800 sur un mois et de +6,2% sur un an (après correction), pourcentage d’augmentation en baisse par rapport aux mois précédents (depuis janvier).
On le voit, on est loin d’une véritable « inversion » : le chômage continue d’augmenter, mais un peu moins vite.
Cette très relative embellie profite surtout aux jeunes de moins de 25 ans. Mais on se retrouve simplement dans la même situation qu’en février dernier.
Le plus gros problème reste surtout celui des chômeurs de longue durée (plus d’un an de chômage) : il représentent maintenant 44,8% de l’ensemble des chômeurs (44,4% en août).
Ce qui fait que la durée moyenne de chômage de l’ensemble des chômeurs est montée à 567 jours (562 en août) : voir courbe.En Pays de la Loire :
Pour les Pays de la Loire, la courbe du haut (retraçant la variation du nombre de chômeurs de cat ABC) montre une augmentation en septembre, comme chaque mois de septembre (variation saisonnière après la saison d’été), mais avec 20500 chômeurs de plus qu’il y a un an. Par contre, depuis 5 mois, cette augmentation a tendance à être moins rapide (quand même +6,9% sur un an).
Certains invoquent la croissance de l’intérim comme signe encourageant. Mais le nombre d’équivalents temps plein n’a augmenté que de 2% sur un an (51144 pour 50136 en septembre).
Espérons que la fameuse « inversion » arrive. Mais on n’y est pas encore ! -
Des antennes téléphoniques dans le clocher de l’église ?
13 octobre 2015, par Patrick CotrelDernière nouvelle :
Depuis mon courrier (du 11 octobre), la mairie a publié une information dans l’hebdo du 16 octobre. Cet article nous explique qu’avec ces antennes, on sera bien loin du seuil légal de 61volts/m : tout le monde sait que ce chiffre est aberrent (même si la réglementation l’autorise, on n’est pas obligés d’installer des grille-pain !). D’ailleurs les associations qui travaillent sur ces sujets réclament de ne pas dépasser 0,6volts/m (100 fois moins !). Quant au second chiffre cité dans le même article (6 volts/m dans certains endroits de Nantes-Métropole), tout le monde (y compris les opérateurs) est d’accord pour considérer qu’il faut d’urgence y modifier la puissance et/ou l’orientation des antennes.
La réalité, c’est qu’aujourd’hui à Sainte-Luce, malgré les antennes qui existent, le rayonnement global est très inférieur à 1 volt/m dans la plupart des lieux. Par exemple, malgré les nouvelles antennes Orange installées rue de la Gironnière, le rayonnement global à l’entrée de la nouvelle école n’est que de 0,35 volts/m. Et le point maximum enregistré sur le territoire de Sainte-Luce se situe au Nord de la commune avec 1,75 volts/m.
Or, lors de la réunion du Conseil de Concertation Communale du 16 septembre, les opérateurs évoquaient le fait que le seuil de 2 volts/m serait sans doute dépassé (alors qu’on n’est qu’à 0,24 volts/m devant l’église actuellement). Pour ma part, J’ai alerté le Conseil sur ce point.
Si on veut réellement informer la population, il faut indiquer clairement le seuil maximum envisagé aux environs de l’église après installation des antennes.
L’association Clémentine vient de faire une communication publiée dans Ouest-France du 9 octobre. (Pour lire l’article, cliquer ici).
Pour ma part, j’avais créé ce Conseil de Concertation Communale (avec des représentants des opérateurs téléphoniques et d’associations lucéennes) afin d’instaurer une transparence sur ces questions de rayonnements électromagnétique : avant de se battre sur des convictions et des principes, il faut d’abord connaître la réalité du niveau des rayonnements à Sainte-Luce et pouvoir débattre concrètement des emplacements des antennes-relai.
Or, à l’occasion de deux projets d’implantation d’antennes sur la commune, on a la forte impression que la municipalité ne joue pas le jeu de la transparence et de l’information de la population.
C’est la raison pour laquelle je viens d’adresser une lettre ouverte au Maire de Sainte-Luce (pour lire la lettre, cliquer ici).
« Sainte-Luce est à vous ? ». Pour cela il faudrait au moins une information transparente…
titre documents joints :- info document (PDF - 386.1 ko)
- info document (PDF - 71.7 ko)
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