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Brèves de Conseil
Conseil municipal du 27 sept. 2016
30 septembre 2016, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Séances du Conseil MunicipalCe conseil comportait beaucoup d’informations sans vote (donc sans décision). De là à penser qu’il s’agissait surtout de faire de la communication pour la majorité municipale, il n’y a qu’un pas, que l’opposition a franchi à plusieurs reprises.
Par contre, les délibérations avec vote et décision ont été peu nombreuses et ont donné lieu à très peu de débat. Dans certains cas, c’est la reconduction de dispositifs de fonctionnement votés chaque année (ex convention pour l’utilisation de la piscine de Carquefou, renouvellement de la convention avec Ecopôle). Mais dans d’autres cas, un débat n’aurait pas été inutile…
Remarquons qu’une fois de plus, M. le Maire a dénoncé "l’augmentation de 873% de la part de Nantes Métropole sur le foncier bâti". Mais elle était tellement basse (0,66%) que les pourcentages n’ont plus de signification. De plus, la taxe sur les ordures ménagères a baissé de 3,2%. Autrement dit, au total, le taux des taxes prélevées par Nantes Métropole sur le foncier bâti est passé de 11,4 à 13,9%.Démocratie participative et concertation :
Le Maire souligne la création des cafés citoyens (pour la proximité), l’existence de groupes de travail élus-citoyens (Antennes relai téléphoniques, divers questionnaires et concertations très locales pour des aménagements ponctuels, projets d’épicerie sociale et de jardins familiaux, comité consultatif handicap) et la création du Conseil de développement lucéen pour développer une vision prospective du devenir de la commune.
De plus, il annonce des futures consultations des habitants sur le Plan de déplacements doux, le devenir du centre-ville, la ZAC des Indulgences et les aménagements "maison rouge" et "Chemin du commun".
L’opposition a réagi par rapport à cette présentation. Anthony Descloziers a souligné qu’en fait de concertation, les café citoyens étaient un recueil de doléances individuelles ; mais que pour les groupes de travail élus-citoyens, il s’agissait d’information descendante (ex comité handicap) ; et beaucoup de questions collectives (quartier de Bellevue sur la circulation, quartiers éloignés par rapport aux transports collectifs, …) sont restées sans réponse. (Il aurait pu aussi évoquer la disparition de la commission "déplacements", qui aurait pu accompagner la mise en place du Plan de déplacements doux et examiner les conséquences de la suppression du sens unique de la rue Coty aux heures de pointe du soir sur l’irrégularité du chronobus). Par cette délibération, la municipalité fait de la "communication" pour masquer l’absence de réelle concertation et de démocratie participative.
De son côté Christian Chérel a souligné l’abandon de l’entretien du bois du Chassay, malgré les demandes de riverains ou de l’entretien des plaines humides des bord de Loire (la municipalité semble découvrir que ce sont des sujets à traiter). Il a également souligné l’absence de concertation et la faiblesse de l’information concernant l’extinction de l’éclairage la nuit.
Réaction de la majorité : "Mais c’est M. Cotrel qui avait prévu cette coupure de l’éclairage de nuit dans les petites rue dans une délibération de juin 2013."
Je tiens à rectifier cette information : Le 25 juin 2013, j’ai bien présenté une délibération annonçant la volonté municipale d’aboutir à des économies d’énergie sur l’éclairage public, avec l’aide technique de Nantes Métropole. Mais la délibération précisait que cela devait être précédé par une série d’information/concertation avec la population des différents quartiers (plusieurs solutions techniques étant possibles).
Pour vérifier cela, on peut télécharger les "ECHOS" de ce Conseil municipal publiés sur ce site, en cliquant ici.Choix de mutuelles communales :
Il s’agissait d’une simple information, après coup, sur l’action menée pour proposer une mutuelle santé aux lucéennes et Lucéens qui n’en ont pas.
Bien entendu, si cela correspond à des besoins de certaines personnes, on ne peut qu’approuver cette action.Ouverture de 7 classes à l’école des Tilleuls :
Là encore, c’est une simple information après coup (la décision date de plusieurs mois).
Chistian Chérel insiste sur la nécessité de tirer les leçons de cet évènement : il faut faire des études prospectives pour prévoir les besoins à venir et, pourquoi pas si nécessaire, programmer assez à l’avance l’ouverture d’un groupe scolaire de plus.
Pas de réponse ( ???).Les décisions :
Modification des commissions municipales et des délégations :
La dénomination des commissions municipales est changée pour correspondre à une nouvelle organisation des services municipaux. Par exemple, le domaine de l’économie locale semble maintenant rattaché à la commission « Cadre de vie et aménagement urbain » (auparavant dans la commission Solidarités, Petite enfance, Economie Locale & Emploi)
D’autre part le Maire a indiqué qu’il confiait au Premier Adjoint (et Adjoint à l’urbanisme) la responsabilité de la maintenance du patrimoine lucéen. Le Maire prend directement la main sur l’évolution de la commune et la prospective (à Sainte-Luce et dans le cadre de Nantes Métropole). Cela traduit-il des désaccords internes à la majorité ?
Adhésion au Réseau National des Missions Emploi :
Ce réseau lancé par Jean Christophe Lagarde, Maire UDI de Drancy, fédère les Missions Emploi de quelques villes moyennes comme Bourges, Dugny, Argenteuil, Garges-les Gonesses, le Rancy et Montluçon.
Selon le Maire, l’appartenance à ce réseau (pour 920€ par an) permet d’utiliser une base de données sur les candidats concernant leur formation et leur expérience professionnelle, mais aussi leur « savoir être ». On peut ainsi mieux les conseiller et même les orienter vers des métiers auxquels ils n’auraient pas pensé. Les offres des entreprises peuvent aussi être mises en commun avec les autre communes du réseau.
Question de Guy Thomas : En quoi les demandeurs lucéens peuvent être prioritairement intéressés par les offres de Drancy ou Montluçon ? Ne sont-ils pas d’abord intéressés par les offres du bassin d’emploi nantais ?
Dans sa réponse, le Maire évoque la nécessaire mobilité des demandeurs à notre époque. Il parle aussi de la convention signée avec un organisme pour aider les créateurs d’entreprise.
De mon point de vue, l’accompagnement des demandeurs d’emploi et des petites entreprises peut être un complément utile à l’action du Service Public de l’Emploi (il est connu que Pôle Emploi manque de moyens humains). Mais le discours de M. le Maire pose un problème déontologique : quels sont les critères pour apprécier objectivement le « savoir-être » et en faire un critère de rapprochement avec des entreprises ?
Est ce qu’on n’est pas en train de s’engager sur un terrain dangereux ?Par ailleurs, Christian Chérel a annoncé qu’il allait démissionner de son mandat dès novembre, afin d’assurer une rotation parmi les membres de la liste « Bien vivre ensemble à Sainte-Luce ».
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Forte progression du chômage en août ?
27 septembre 2016, par Patrick Cotrel - #Format. Profession. - #EmploiLe ministère du travail annonce une forte progression du nombre de chômeurs (de catégorie A) en août : +50 200 sur un mois. Plus significatif encore, sur un an, la baisse constatée depuis avril tend à être annulée : alors que cette baisse était de 1,27% par rapport à juillet 2015, elle est réduite à 0,41% en août. De plus, la hausse du nombre de chômeurs de cat A, B et C est de 76 100 sur un mois, mais surtout de 1,8% sur un an.
Pour expliquer cette hausse, la Ministre évoque une diminution inhabituelle des défauts d’actualisation (de "pointage").
Le mois dernier, justement, j’avais indiqué que la baisse de 19 000 du nombre de chômeurs (cat ABC) n’était pas due à une amélioration de l’emploi, mais à des entrées en formation supplémentaires, à des transferts vers les catégories B et C et à presque 10 000 défaut de pointage de plus. (Pour relire l’article, cliquer ici).
Aujourd’hui, nous assistons à un retour de balancier, puisque ce sont 58 900 défauts de pointage de moins qui ont été enregistrés.
Mais là non plus, ces mouvements ne sont pas réellement significatifs de l’état du marché du travail, puisque les sorties du chômage pour reprise d’emploi sont quasi stables, que les inscriptions à Pôle Emploi (PE) pour sorties d’emploi diminuent légèrement, mais que les offres d’emploi recueillies par PE diminuent légèrement.Si on veut avoir une approche significative de la situation de l’emploi, il faut prendre en compte l’ensemble des catégories A, B et C et comparer leur nombre à celui du même mois de l’année précédente, pour éviter les variations conjoncturelles. Les variations du pourcentage d’évolution sur un an nous donne même une idée de la tendance.
La situation en août :
Comme le montre le graphique
ci-contre (qui retrace mois par mois le % d’évolution sur un an des chômeurs de cat A, B et C), la lente décélération de l’augmentation du chômage amorcée en juillet 2015 est en train de s’inverser
C’est un constat que j’avais signalé avec l’analyse des chiffres de juin dernier.Et si on examine les tranches d’âge, (voir courbes ci-dessous), on constate qu’elles sont toutes concernées : la tranche 25-49 ans, bien entendu ; mais aussi les jeunes, qui avaient vu leur chômage diminuer depuis novembre 2015 (-6,85% en mai 2016), peuvent de nouveau être soumis à une hausse du chômage sous quelques mois (-0,41% en août). Seuls les plus de 50 ans sont moins touchés.
Il faut quand même relever que la part des chômeurs de plus d’un an et la durée moyenne du chômage diminuent lentement mais régulièrement depuis mai 2016 : 43,9% de chômeurs de plus d’un an aujourd’hui, contre 45,7% en avril 2016 ; durée moyenne de chômage de 571 jours aujourd’hui, contre 583 jours en avril.
On peut supposer que le public des chômeurs de plus d’un an est la cible prioritaire des propositions de formation professionnelle. Mais nous ne disposons pas de statistiques d’âge sur les entrées en formation.En Pays de la Loire :
Les tendances observées nationalement se retrouvent en Pays de la Loire.
Une nuance, cependant : sur un an le pourcentage d’augmentation du chômage en métropole (cat A, B et C) est de 1,8%, alors qu’il n’est que de 1,2% en Pays de la Loire. -
Pour une parole écologiste dans le débat présidentiel
26 septembre 2016, par Patrick CotrelLa gravité de la situation décrite par Joël Giraud jeudi dernier sur l’antenne de France Inter, et son regret de la non candidature de Nicolas Hulot, souligne la nécessité d’une parole écologiste dans le débat politique actuel, face aux discours négationnistes ou qui minimisent la gravité de la situation. (Pour lire l’article sur cette intervention de Gaël Giraud, cliquer ici).
C’est la raison pour laquelle, il est important de désigner un-e porte-parole de l’écologie politique (potentiellement candidat-e) pour cette période présidentielle.Pour vous inscrire pour participer à la primaire des écologistes, cliquer ici
Attention ! date limite = vendredi 30 septembre
En même temps, il serait suicidaire d’opérer un repli sur nos certitudes et notre petit camp. Il faut viser à une union la plus large possible de tous celles et ceux qui sont conscients des dangers qui nous menacent.
La période actuelle comporte beaucoup d’inconnues. Bien malin qui pourrait prédire ce que sera la situation politique dans 8 mois et quel seront les candidat-e-s à l’élection présidentielle. En conséquence, il me semble que le-la candidat-e potentiel-le, porte parole de l’écologie, devra être le plus possible attentif-ve à toutes les évolutions et les possibilités d’alliance, permettant la prise en compte des priorités écologiques et d’éviter le pire.Du fait qu’il a été un des promoteurs d’une primaire de la gauche et des écologistes, Yannick JADOT me semble être le meilleur candidat.
Pour lire quelques soutiens à Yannick Jadot (Claire Nouvian, Julien Durand, Dany Cohn-Bendit, Matthieu Orphelin, Jean-Paul Jaud), cliquer ici.
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L’urgence écologique :
26 septembre 2016, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement DurableJeudi dernier (le 22 sept), Gaël Giraud était l’invité de la matinale sur France Inter.
Il est le responsable économiste de l’Agence française du développement, organisme essentiel du dispositif français de l’aide publique en faveur des pays en développement et de l’Outre-mer.
Pour écouter des extraits de l’émission, cliquer ici.
Pour Gaël Giraud, le problème crucial posé aujourd’hui aux pays en développement, c’est celui de l’adaptation aux changements climatique et le problème de l’eau. Cette question y est beaucoup plus vitale que chez nous (même si on n’a pas encore réalisé que dans une génération, Bordeaux aura le même climat que celui de Séville aujourd’hui).
Par exemple, les eaux de mer ont commencé à pénétrer dans le delta du Mékong au Vietnam. Conséquence : les terres salées seront bientôt impropres à la culture du riz, alors que cette région est le grenier du Vietnam. Même phénomène au Bengladesh.
Autre exemple : du fait de la fonte des glaciers, la capitale de la Bolivie, La Paz, sera bientôt un désert à 4000 m d’altitude.
Autre exemple : Amman, capitale de la Jordanie, pompe son eau potable dans des nappes à 400 m de profondeur ; mais à un rythme supérieur à sa capacité de renouvellement. Dans 20 ans, les nappes seront épuisées.
Autre point d’alerte pour Gaël Giraud, c’est le réchauffement climatique. "L’accord de Paris est un immense succès diplomatique, et en même temps, il est largement insuffisant". Car si chaque pays respecte ses engagements, nous serons probablement à +3,5° en fin de siècle, et non +2°, ce qui est pourtant l’objectif officiel. De plus, ce chiffre de +3,5° n’est qu’une moyenne, mais il y a 10% de chance pour qu’on soit bien au-delà, de l’ordre de +6°. Et à ce niveau, c’est la survie de l’humanité et de la majeure partie de la vie sur terre qui est en jeu. Imaginez qu’à l’entrée d’un avion, on vous dise qu’il a une chance sur 10 de s’écraser. Nous sommes aujourd’hui dans cette situation par rapport à l’avion « terre » "
Décroissance et crash bancaire : Pour Joël Giraud, le monde est déjà en décroissance, mais une décroissance subie et non organisée : le Japon est en récession depuis des décennies, l’Europe stagne, le Brésil est en crise et la Chine commence à s’essouffler. De plus, les risques de crise bancaire sont toujours très présents. Mais l’union bancaire européenne ne serait pas capable de nous protéger et les Etats seraient obligés, de nouveau, d’intervenir alors que leur situation financière est très dégradée.
Une telle crise peut venir d’un crash bancaire, ou de la Chine dont la dette privée est de 145% de son PIB.
Pour finir, Joël Giraud s’est dit très déçu de la non candidature de Nicolas Hulot. -
Les dernières nouvelles de Notre Dame des Landes
19 septembre 2016, par Patrick Cotrel - #Déplacements - #Développement DurableJ P Dubreuil, patron de compagnie aérienne low cost déclare le 13 septembre : "On a vu sortir ce projet à un moment où le TGV n’existait pas. (…) Mais les gens de Brest ou de Lorient ne viendront pas à NDDL et Rennes voudra garder son aéroport. Et puis il sera éloigné des 20% de passagers du Sud-Loire.(…)
Techniquement, l’aéroport de Nantes n’est pas saturé. (…) Des vols intercontinentaux au départ de Nantes, ce n’est pas envisagé par les compagnies. Pour ce genre de vols, il faut s’appuyer sur des hub comme Paris ou Amsterdam. Dans le contexte actuel, on va dépenser beaucoup d’argent pour quelque chose qui n’est pas techniquement obligatoire."Et cependant, 2 jours plus tard, la Préfecture publie un arrêté autorisant la destruction du campagnole amphibie, espèce pourtant protégée dont la présence avait été "oubliée" dans le dossier initial et qui a été mise en évidence par les naturalistes en lutte.
Les journaux titrent sur la fin des obstacles au démarrage des travaux de l’aéroport. Mais la bataille juridique et réglementaire est loin d’être terminée.Les opposants étudient une attaque en référé de cet arrêté préfectoral. De plus, ils ont saisi le Conseil d’Etat pour annuler la déclaration d’utilité publique en s’appuyant sur le rapport des experts mandatés par me Ministère de l’écologie qui conclue que "le projet NDDL est surdimensionné et que l’optimisation de Nantes-Atlantique n’a pas été détaillée de façon détaillée". Les procédures engagées contre les arrêtés relatifs à la loi sur l’eau et à la biodiversité doivent encore être jugés en appel. Idem pour l’arrêté concernant les aménagements routiers.
De plus, l’Europe a adressé à la France une mise en demeure sur l’aspect environnemental du projet. Le gouvernement a choisi d’inclure une étude sur l’impact du projet dans la révision du SCOT( Schéma de Cohérence Territoriale) Nantes Saint-Nazaire. L’enquête publique sur ce SCOTT démarre aujourd’hui. Pour le consulter, cliquer ici. Pour donner votre avis, envoyer un mail en cliquant ici. Il ne pourra pas être validé avant la mi janvier 2017. En attendant, un démarrage des travaux serait en infraction par rapport aux règles de l’Union Européenne.
Cela n’empêche pas Christophe Clergeau (président du groupe PS au Conseil régional) de demander au gouvernement de "Passer aux actes", c’est-à-dire aux expulsions au nom du résultat de la consultation de juin dernier qui a été limitée à la Loire-Atlantique, alors que des contributions financières sont demandées aux deux régions Bretagne et Pays de la Loire. Or les sondages montrent que :
- Si son périmètre avait été la commune de NDDL : le résultat aurait été NON.
- Si son périmètre avait été la région Pays de La Loire : le résultat aurait été NON.
- Si son périmètre avait été la France entière : le résultat aurait été NON.
D’autre part, Christophe Clergeau oublie les termes de l’accord signé avec les écologistes et citoyens entre les deux tours de l’élection régionale et qui précisait : "Une étude indépendante sur son optimisation [de l’aéroport actuel] sera décidée par la région. Elle intégrera les perspectives actualisées d’augmentation du trafic, le Plan d’exposition au bruit actualisé, les données environnementales, les enjeux juridiques et les coûts d’aménagements nécessaires.". Or cette étude n’a pas eu lieu : comment alors, trancher définitivement sur le projet de NDDL ?
L’accord précisait également : "Aucune date de démarrage des travaux n’est publiquement avancée, ce qui rend incompréhensible l’accélération brutale par AGO Vinci, concessionnaire de l’Etat, des procédures d’expulsion de familles et d’agriculteurs habitant légalement sur le site avant la DUP. Pour nous, ces expulsions ne peuvent pas intervenir sans mise en œuvre effective du transfert d’aéroport."
Que valent les engagements écrits de Christophe Clergeau ?...
Rien n’est joué, mais la situation est tendue. D’où l’importance de la réussite de la mobilisation du 8 octobre prochain !
Pour lire l’appel à la manifestation, cliquer ici
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