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PALESTINE...
23 mai 2025, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours« Nous répondons à la douleur par les soins, à la peur par l’action, et à la souffrance par la compassion ». Épuisé, le docteur Bassam Zaqout, directeur du Secours médical palestinien (Palestinian Medical Relief Society - PMRS) dans la bande de Gaza, n’en demeure pas moins déterminé. Les 80 équipes mobiles qu’il coordonne, et qui se déploient en tous lieux du territoire harcelé par les bombes et labouré par les tanks, poursuivent opiniâtrement leur travail : soigner la population, en un contexte inédit de destruction du système de santé et de crise humanitaire. Le blocus total de l’aide, en vigueur depuis le 2 mars, a précipité la dégradation d’une situation déjà dramatique. « Plus rien n’entre à Gaza : pas un morceau de pain, pas un verre d’eau, pas un médicament », alerte le docteur Mustapha Barghouti, président de PMRS. C’est une population entière qui est affamée, et des milliers d’enfants gazaouis sont déjà morts de faim et par manque de soins. »
Ces équipes médicales interviennent au plus près de la population, dans les camps de déplacés, dans les abris de fortune, partout où les familles se réfugient. Les soignants de PMRS - médecins, infirmières, sage-femmes, psychologues, etc. - se portent également au secours des familles cisjordaniennes et de Jérusalem-Est qui subissent, elles aussi, une recrudescence inouïe de la violence. Blessés, malades chroniques, jeunes et adultes traumatisés : c’est une souffrance aux multiples visages qu’il convient d’accueillir et apaiser.
Depuis 1979, le Secours populaire soutient son association sœur PMRS dans un esprit de justice et de non-violence. Tous deux œuvrent sans relâche pour que la population puisse, dans le respect du droit international, avoir accès à ses droits fondamentaux, notamment celui d’être soignée dans la dignité. « En ces jours terribles, le Secours populaire a la responsabilité d’alerter sur ces atteintes au droit mais aussi de rappeler qu’il est possible d’agir, et donc d’espérer », souligne Henriette Steinberg, secrétaire générale du Secours populaire.
Agir, c’est soutenir le combat des soignants de PMRS pour la vie.Sur le même sujet, on pourra lire l’édito de Ouest-France du samedi 24 mai en cliquant ici
On pourra aussi lire l’interview de la Secrétaire Générale de Amnesty International en cliquant ici
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DIVIDENDES...
19 mai 2025, par Patrick Cotrel - #91-Inégalités -
Les Brèves de l’écologie :
29 avril 2025, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Energies - Climat - #Développement Durable.
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.1er juin : fin des Zones à Faibles Emissions ?
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.20 mai : REJOIGNEZ L’APPEL POUR LES DROITS DE L’OCÉAN
Surpêche, pollution, réchauffement de l’océan… Ces agressions majeures bouleversent les écosystèmes marins, menacent l’existence des créatures marines et l’équilibre global de notre planète, le support même de nos vies et de celles de nos enfants.
Nous, élu-es de villes côtières et d’autres territoires, juristes, scientifiques et citoyen-nes directement impactées, avons la volonté d’enrayer cette crise et de protéger l’équilibre de l’Océan pour que les espèces marines et les écosystèmes puissent s’y épanouir. Notre expertise et notre proximité avec les réalités du terrain, nos observations sous-marines, au jour le jour, nous font mesurer l’urgence de la situation et nous pousse à lancer cet appel à l’action immédiate, concrète et ambitieuse.
📆 Une formidable opportunité se présente : en juin prochain se tiendra à Nice la Conférence des Nations Unies sur l’Océan. Si nous nous mobilisons, nous avons une chance unique de nous faire entendre dans ce moment crucial qui réunira l’ensemble des dirigeants de la planète, et ainsi de marquer un tournant historique pour la protection de la vie marine et notre avenir à tou-tes.
📑Avec cette pétition, nous demandons l’inscription des droits et de la valeur intrinsèque de l’Océan dans la Déclaration de Nice "Notre Océan, notre futur : accélérer l’action". Si nous obtenons gain de cause, cela permettrait très concrètement :De faire progresser les droits de l’Océan partout dans le monde
De défendre le droit d’existence de chaque être marin
Donner aux écosystèmes et aux entités marines une voix officielle
D’intenter des actions transformatives pour stopper des projets destructeurs et protéger son droit à exister, prospérer, se régénérer et évoluer.
De renforcer le pouvoir d’agir des Peuples autochtones ainsi que des communautés locales.
👎Si la reconnaissance des droits de l’Océan reste lettre morte, nous risquons de repousser à plus tard des changements transformatifs essentiels, à la fois dans notre relation à l’Océan, dans nos modèles économiques et dans nos institutions, aboutissant à une accélération de la détérioration des écosystèmes clefs de notre planète et l’extinction de nombreuses espèces marines.
Nous avons seulement 3 mois pour convaincre les décideurs de la Conférence des Nations Unies de Nice d’agir. Votre mobilisation est donc essentielle : signez, partagez et rejoignez-nous pour faire entendre la voix de l’Océan.Qui sommes nous ?
Cette pétition est portée par un collectif international d’ONG engagées pour la défense de l’Océan, rassemblant en France les associations Wild Legal, Longitude 181 et Vagues, mais également Earth Law Center, Ocean vision Legal (USA) et l’Alliance mondial pour les droits de la Nature et soutenue par de nombreuses personnalités et associations.
Pour signer la pétition, cliquer ici24 avril : Soutenir la Palestine et promouvoir la paix (pétition adressée au Président de la République)
Mr le Président,
Par la présente pétition, nous, citoyens, souhaitons dénoncer le positionnement de nos institutions dans le conflit Israelo-palestinien et vous partager quelques orientations.
Nous sommes le pays des lumières et des droits de l’homme, donc le silence et l’inaction adoptés devant le génocide en cours à Gaza rendent la France complice. Cela soulève notre indignation et notre cri pour une position française plus juste et en phase avec nos valeurs humanistes.
En tant que citoyens sensibles à la liberté, à l’égalité et à la fraternité, nous souhaitons que la France se mobilise pour stopper le génocide et que notre pays promeut la paix.
Veuillez trouver, ci-dessous, quatre recommandations pour réaffirmer nos valeurs, réhabiliter l’image de la France dans le monde, aider les civils palestiniens et soutenir la paix.
Premièrement, il est impératif que notre pays s’oppose à la politique génocidaire d’Israël.
Deuxièmement, il est urgent de créer une coalition internationale qui impose un couloir humanitaire pour permettre aux ONG d’intervenir sur le terrain et à l’aide humanitaire de rentrer pour sauver les civils en vie.
Troisièmement, notre pays doit prendre des sanctions contre Israël afin d’inciter le gouvernement Israélien à la négociation d’un accord de cesser le feu et de libération des otages détenus à Gaza.
Quatrièmement, nous devons aider à la mise en place des jalons d’un accord de paix plus durable qui respecte la liberté et la souveraineté des deux peuples.
Par la présente pétition, nous souhaitons également nous joindre aux ONG, associations et organismes qui militent pour une position politique francaise plus humaine et plus juste dans le conflit Israelo-palestinien.
Merci pour la considération de cet appel humaniste venant de citoyens soucieux de la paix et de la coexistence des peuples.
Nos respectueuses salutations.Pour signer la pétition, cliquer ici
24 avril : Nos universités ont du sang sur les mains : agissons contre le génocide !(Pétition lancée par L’Union ETUDIANTE)
Les événements récents le montrent, le gouvernement israélien s’enfonce jour après jour dans une volonté criminelle et une soif génocidaire. Face à cette situation, notre gouvernement et nos universités se murent dans un silence coupable, souvent complice. Face aux protestations de la jeunesse, ils ne savent répondre que par la violence, les poursuites disciplinaires ou judiciaires.
Contre cette répression organisée, les étudiant-es disposent du plus fort des leviers : l’organisation collective, qui doit toujours être guidée par un objectif clair. Si nos universités détournent le regard de la situation actuelle, c’est avant tout car elles entretiennent des liens étroits avec les universités israéliennes et des entreprises complices du génocide par le biais de leurs partenariats.
Par conséquent, le monde universitaire doit s’opposer de toutes ses forces à ces accords, qui lient directement nos lieux d’études aux pires des crimes, aux pires violations des droits humains et du droit international.
Notre revendication est simple : la mise en place d’un boycott académique efficace, qui permette enfin d’enrayer la machine de mort israélienne et de faire cesser la complicité de nos universités, qui sont trop nombreuses à faire primer leurs intérêts stratégiques sur le respect de la dignité des peuples.Pour signer la pétition, cliquer ici
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’Négociations’ Russie-USA sur l’Ukraine...
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18 mars : EPR 2 : un pari perdant et coûteux
(Voir l’article du 18 mars 2025 de Ouest-France)
La présidence de la République, au sortir du ‘Conseil de politique nucléaire’ (CNP), a annoncé un retard de 3 ans sur le programme de production et d’installation des EPR2 à Penly, Bugey, et Graveline, soit une livraison reportée à 2038. Et, bien entendu, le prix sera augmenté, alors que le coût annoncé précédemment était de 80 milliards € et avait déjà provoqué un « appel à la prudence » de la Cour des comptes.
En plus, si cela ne suffisait pas, le prix moyen de l’électricité passera à 100 € le mégawattheure (actuellement 57€ en moyenne ou 77 € pour les achats négociés un an en avance).
Le CNP a, par ailleurs confirmé les investissements déjà annoncés à La Hague (nouvelle piscine de stockage des déchets, nouvelle usine de recyclage des déchets, nouvelle usine de production de Mox). Il annonce également la relance des réacteurs à neutrons rapides (Super phénix) et un projet de retraitement des combustibles (que seule la Russie réalise aujourd’hui).
Greenpeace dénonce une « fuite en avant » et le Syndicat des énergies renouvelables regrette que « tant d’énergie présidentielle soit dépensée dans une électricité qui n’arrivera qu’en 2038, alors que les énergies vertes peuvent être développées tout de suite. »Alors que le nucléaire est en déclin mondial, grâce aux progrès des énergies renouvelables (coût d’investissement beaucoup faibles, rapidité de mise en œuvre, /dépendance du Kazakhstan pour l’achat d’uranium et de la Russie pour la fabrication du mox, …) , E. Macron ne trouve rien de mieux que d’accélérer le programme nucléaire français !...
Pour lire l’ensemble des brèves sur le "débloque-notes", cliquer ici
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La condamnation de Marine Le Pen
6 avril 2025, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Présidentielle 2026Finalement, tous ceux qui évoquent cet épisode judiciaire ne parlent que de sa peine d’inéligibilité immédiate et pour 5 ans, et non pas de sa culpabilité ou non.
Et tous ceux qui la soutiennent dénoncent un « déni de démocratie », eux qui sont particulièrement bien placés pour la défendre...
Qu’on en juge : ce sont Poutine, Elon Musk, Donald Trump, Vitor Orban, et plus discrètement en France Laurent Wauquiez (« Il n’est pas sain qu’une élue soit interdite d’élection »), Eric Ciotti (« La France est-elle encore une démocratie ? »), J.Luc Mélanchon (« La décision de destituer un élu devrait revenir au peuple »), ou même le Premier Ministre qui semble bien gêné…
Posons donc deux questions : 1/ le détournement de fonds est-il réel ? 2/ la peine d’inégibilité est elle légale ?Pour le premier point, il faut remarquer que le RN, avant le jugement de Marine Le Pen, avait commencé à rembourser les 4,4 millions € à hauteur de 0,7 Million€. C’est donc que le RN reconnaissait implicitement la réalité du détournement.
Pour le second point, d’où vient cette possibilité juridique ? Cela vient d’une époque, pas si lointaine, où les financements occultes des partis politiques, à tous les niveaux, étaient courants (dessous de table sur les marchés publics, …) et ont fait l’objet de quelques scandales (emplois fictifs de la ville de Paris, …). Ce discrédit du monde politique a amené les députés à durcir les sanctions pour moraliser, à juste titre, les pratiques politiques. Et la loi « Sapin 2 », votée par la majorité des députés, est venue couronner cette moralisation.
C’est pourquoi Marine Le Pen n’est pas la première à voir son parcours politique contrarié par la justice : Qu’on se souvienne des cas d’Alain Juppé, de Jérôme Cahuzac, ou de François Fillon. Ou même plus récemment de Nicolas Sarkozy.
Et Marine Le Pen, elle même, au moment du vote de ces lois visant à moraliser les pratiques politiques en donnant la possibilité aux juges de prononcer une inéligibilité pour quelques années, disait qu’il faudrait pouvoir prononcer une « inéligibilité à vie »…Aujourd’hui, les règles sont claires. On sait parfaitement ce qu’est le rôle d’un attaché parlementaire. Celles et ceux qui enfreignent ces règles savent parfaitement ce qu’ils-elles risquent. Le respect des Elu.e.s passe par là.
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