Communiqué de presse du groupe « Sainte-Luce Harmonicité »

Suite à l’accord entre les deux listes de gauche pour le second tour des élections municipales de Sainte-Luce et diverses communications qui ont suivi, le groupe « Sainte-Luce Harmonicité » tient à préciser les points suivants.

Notre projet pour Sainte-Luce et notre liste du premier tour représente une suite logique du travail de longue date effectué par les Elus de gauche au sein du Conseil municipal autour de Patrick Cotrel et par l’association LUCIDE présidée par Roselyne Durand. Mais c’est aussi la rencontre de ce travail avec un courant de militants associatifs de gauche et écologistes qui souhaitent participer pleinement aux décisions municipales, en dehors des jeux politiciens et sans avoir à attendre des directives des appareils.
Ces aspirations correspondent bien à une nécessité de renouvellement des pratiques politiques (on parle de « rénovation » à gauche).

Le résultat du premier tour montre que la victoire de la gauche à Sainte-Luce passe nécessairement par la prise en compte de ces aspirations « nouvelles ».

L’accord passé entre les deux listes de gauche lundi soir permet pleinement à ces aspirations de s’exprimer et d’être prises en compte dans les orientations municipales et dans une nouvelle majorité. Il ne s’agit donc pas d’une « combinaison politique ».
Demain, nous prendrons toute notre place dans la majorité de Nantes Métropole, en y apportant notre contribution, sans soumission, et dans l’intérêt des Lucéennes et des Lucéens.
Enfin, nous souhaitons que les rapports entre majorité et opposition dans la prochaine municipalité soient plus conviviaux et coopératifs.

Nous voulons que notre commune soit accueillante et solidaire, qu’elle sache préserver son environnement et qu’elle permette à toutes les générations et groupes sociaux de trouver leur place.

Pour cela nous appelons tous les électrices et les lecteurs à se mobiliser et à voter massivement pour la liste « Sainte-Luce avance - Harmonicité ».

Pour « Sainte-Luce Harmonicité »,
Patrick COTREL